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jueves, 23 de enero de 2014

Le Comparatif et le superlatif

Cette semaine on va commencer avec le comparatif et le superlatif. 
Je vous laisse ici cette video pour réviser la leçon.



Explication grammaticale
Adjectifs et adverbes
SupérioritéClaire est plus sympathique que Marie / Il va plus souvent au théâtreque moi
ÉgalitéMarie est aussi gentille que Claire / Je vais aux soldes aussi souventqu'elle
InférioritéIl est moins aimable que son père / La voiture roule moins vite quele train
Noms
SupérioritéAujourd'hui il y a plus de monde que d'habitude
ÉgalitéMais non! Il y a autant de monde que d'habitude
InférioritéJe ne suis pas d'accord: il y a moins de monde que d'habitude
Verbes
SupérioritéMélodie travaille plus que Nathalie
ÉgalitéMais non! Nathalie travaille autant que Mélodie!
InférioritéJe ne suis pas d'accord: Mélodie travaille moins que Nathalie!
Superlatif
Avec les adjectifs et adverbes le superlatif se forme à l'aide d'un article défini:
le,la,les plus/moins

Avec les verbes on utilise le comparatif précédé de l'article défini le:
le plus/moins

Avec les noms le complément du superlatif est précédé de la préposition de:le plus/moins de
Cas particulier:
Comparatif de supériorité et superlatif de l'adjectif bon > (le,la,les) meilleur(e)(s)
Comparatif de supériorité et superlatif de l'adverbe bien > (le) mieux
Exemples:Bill Gates est l'homme le plus riche et le plus intelligent du monde.
Bille Gates est l'homme qui a la femme la plus belle.
Bill Gates est l'homme qui a le plus d'argent au monde.
Bill Gates est l'homme qui travaille le plus au monde!
Bill Gates est le meilleur!
Bill Gates est l'homme qui travaille le mieux en informatique.
Bill Gates est l'homme qui construit les meilleurs programmes au monde.

jueves, 9 de enero de 2014

Joyce Jonathan - Ça ira

ON TRAVAIL ENCORE SUR UNE CHANSON DE JOYCE JONATHAN
Description physique et l' habillement.


Avec les paroles
POUR CHANTER !




Vous retrouverez de autres EXERCICES par ici.
En plus des exercices que vous avez faites en classe, vous pouvez faire ceux-ci d' ici:

jueves, 7 de noviembre de 2013

Dire son origine

à, au, en, aux + nom de ville ou de pays
Cliquez sur l'image et pratiquez avec les exercices de TV5 MONDE 


On met la préposition au devant un nom de pays masculin commençant par une consonne

Le + pays masculin                        Au+ pays masculin

Le Senegal                                     je vais au Sénégal
Le Portugal                                    nous habitons au Portugal

On met la préposition en devant de nom de pays féminin et devant un pays masculin commençant par voyelle.

La + pays féminin                         En + pays féminin

La Chine                                       Tu travailles en Chine
La France                                      Nous sommes en France

On met la préposition aux devant un nom de pays pluriel.

Le + pays pluriel                          Aux + pays pluriel

Les  Pays-Bas                               Il va aux Pays-Bas
Les États-Unis                               J'habite aux États-Unis

On met la préposition à devant un nom de ville

Nom de ville                                À + nom de ville

Dakar                                          Il part à Dakar
Bruxelles                                     Nous habitons à Bruxelles

  

lunes, 28 de octubre de 2013

Le Moulin Rouge

Lisez et répondez aux questions
Haz clic en la imagen

Paris

Pour votre prochain voyage a Paris
 REGARDEZ LA VIDÉO QUI RACONTE L'EXPÉRIENCE DE ROMAIN.


TRANSCRIPTION
R : Romain / A : Anne
A Alors Romain, il y a deux ans, tu t’étais installé à Valenciennes, tu as passé un an et après, l’année dernière, tu étais à Aix… Et là maintenant ?
R A Paris ! Donc ça fait un mois que… que je m’y suis installé.
A Ouais, c’est pour ton travail en fait.
R Voilà, pour mon travail. Et donc j’ai un petit studio (1) dans le treizième arrondissement (2) de Paris.
A C’est bien ? C’est calme ?
R Oui, oui, c’est calme. C’est dans le quartier… quartier chinois de… de Paris. Donc il y a plein de (3) boutiques asiatiques et de restaurants… restaurants asiatiques.
A : D’accord.
R : Donc c’est assez animé.
A : Oui. Et euh… Qu’est-ce que je veux dire… Qu’est-ce que tu as… Qu’est-ce que tu as eu le temps de faire, alors là, depuis un mois à Paris ? Parce que bon, tu travailles, mais tu as quand même le temps un peu de… visiter ou…
R : Oui, bah, j’ai fait… bah les principaux coins touristiques : la Tour Eiffel.
A : Tu es monté ?
R : Euh non, j’y suis pas monté cette fois-ci parce qu’il y avait beaucoup… Enfin il y a beaucoup de touristes, donc il y a beaucoup de monde. (4)
A : Oui, il y a la queue.
R : Oui, il y avait une heure d’attente ou…
A : Oui, oui.
R : Un truc comme ça. (5)
A : Oui, c’est sûr que le mois d’août, il y a (6) plein de … y a du monde, quoi, hein ! Plein d’étrangers.
R : Bah surtout… même le soir parce que y a… Elle est toute illuminée en plus.
A : Ah oui, c’est beau, ouais.
R : C’est joli.
A : Bah tu iras après quand tout le monde sera…
R:  Oui en hiver.
A : … au travail ! Oui, oui. Et puis ?
R : Sinon, bah les… les principaux coins (7) du centre comme Notre Dame de Paris.
A : Oui, c’est agréable.
R : Puis les… les Quais de Seine.
A : Mm. En marchant ? Tu es allé à pied ?
R : Oui, en marchant. Oui, le soir, c’est… c’est agréable. En plus, il faisait beau et chaud, donc…
A : Oui, oui. Bah c’est vrai que depuis un mois, vous avez eu de la chance finalement.
R : Oui, il a quasiment pas plu depuis un mois. Il a toujours fait très… très beau,même… voire (8) chaud.
A : Oui. Donc du coup, c’est agréable de flâner…
R : Oui.
A : … au bord de la Seine. C’est très romantique !
R : Sur les quais de Paris-Plage. (9)
A : Ah oui, tu es allé voir, alors ?
R : J’y étais passé la nuit donc j’ai pas vu grand-chose mais… Oui, il y a trois tas de sable ! (10)
A : C’est un peu bizarre, quand même ! Oui. Parce que bon, on peut pas se tremper dans la…dans la Seine de toute façon. Donc c’est juste… oui, c’est ça, des chaises longues et…
R : C’est juste pour bronzer. Puis les Parisiens râlent (11) vu que ça empêche… Enfin on peut plus circuler en voiture sur les quais, donc…
A : Ah oui, oui, pendant… pendant l’été.
R : Un mois.
A : Oui, oui. Bah là, ça va bientôt s’arrêter en fait.
R : Bah ça… ça fait une semaine, je crois, que c’est fini.
A : Ah ! Ils ont tout remballé. Et sinon, alors tu te déplaces comment dans Paris ?
R:  Bah dans Paris, toujours en métro, en tramway ou en RER. (12)
A : Mm, mm. C’est vrai que c’est pratique, oui. Il y a des stations partout, oui.
R : J’ai pas encore fait de Vélib. (13)
A : Ah ! Tu as pas essayé ?
R : Non.
A : C’est pas un peu… angoissant, non, à Paris quand même ?
R : Le Vélib ?
A : Oui.
R : Je sais pas trop. Mais j’ai pas… Là, c’était l’été donc il y avait pas… Y avait pas encore beaucoup de circulation mais…
A : Oui, oui.
R : Non, bah si les gens le font, ça doit se faire. (14)
A : Oui. Tu veux essayer ?
R : Bah, je pense que j’essaierai peut-être mais bon, pour l’instant, ça marche bien en métro donc…
A : Mm, mm. D’accord. Et sinon, il y a des trucs qui te plaisent pas, toi, à Paris ou… ?
R : Bah c’est un petit peu le monde dans les transports aux heures de pointe. C’est vrai que c’est un petit peu pénible des fois. Il y a du monde partout. Ou même quand je vais à la piscine, il y a beaucoup de…
A : Ah oui, tu t’es… Tu vas à la piscine, alors?
R : A la piscine, oui.
A : Et tu t’es inscrit dans une salle de sport ?
N : Non, pas pour l’instant.
A : T’as pas trouvé ?
R : Non. Pas vraiment. Bah c’est vrai que c’est cher. Donc c’est…
A : Il faut que tu voies par rapport à ton organisation.
R : Oui, voilà, donc…
A : … de la semaine.
R: On verra plus tard.
A : Donc là, la piscine.
R : La piscine, ouais. Mais il y a beaucoup de monde. C’est comme le périphérique ! (15)
A:  C’est-à-dire ?!
R : Bah, il faut s’insérer dans la circulation et puis…
A : C’est vrai ?! Carrément ? (16)
R : … nager. Tu peux te faire… Si tu nages trop lentement, tu te fais… tu te fais… « klaxonner », entre guillemets ! (17)
A : Ouais. D’accord, mais alors, c’est quoi… Ouais mais ils ont dû quand même… je sais pas, il y a des lignes d’eau ?
R : Oui, il y a plusieurs lignes d’eau en fonction des vitesses et puis après, bah, ç’est… ça nage à l’intérieur. Mais bon, il y a du monde, donc…
A : Oui, oui.
R : Faut trouver les bons créneaux pour s’insérer…
A : D’accord !
R : …dans le mouvement.
A:  C’est fou, ça !
R : Ouais.
A : Remarque, bon, il y avait peut-être du monde parce que c’était l’été. Peut-être que quand il va faire plus froid, les gens vont rester à la maison.
R : Je sais pas. On verra bien.
A : Oui, oui. D’accord. C’est laquelle ? C’est quelle piscine ?
R : C’est la piscine de… des Halles (18). Donc en plein centre de Paris.
A : Ouais, ouais, c’est une grande piscine.
R : Oui. Bah c’est une piscine olympique et elle a l’avantage d’être ouverte jusqu’à 22 heures ( vingt-deux ) ou 23 heures le soir. Donc c’est assez pratique parce que celles qui sont plus proches de chez moi ferment assez tôt. Donc je peux pas… je peux pas trop y aller après le travail.
A : Ouais, c’est trop court.
R : Voilà.
A : Et tu es allé au cinéma ou… ?
R : Oui, je suis allé au cinéma. Donc c’est bien parce que dans… pas loin de chez moi, il y en un qui fait des promotions donc la place à 3,90 € ( trois euros quatre-vingt dix ) pour les moins de 26 ans ( vingt-six ).
A : Ah ouais ! Dis donc ! Alors que normalement, c’est combien ?
R : Bah en tarif normal, à Paris, c’est entre 9 ( neuf ) et 10 ( dix ) euros.
A : Ah ouais ! La différence ! A n’importe quelle heure ?
R : N’importe quelle heure, à toutes les séances, tous les films.
A : Ah ouais, c’est bien, ça ! Et les musées ?
R : Les musées, non, j’en ai pas encore vus. J’ai juste fait la Cité des Sciences.
A : Ah oui, c’est bien ça !
R : Donc voilà, oui, c’était… J’avais… Je l’avais déjà fait quand j’étais plus jeune.
A : Oui, mais bon.
R : C’est vrai que les expositions changent. Puis je m’en souvenais plus forcément beaucoup.
A : Oui, oui. C’est à l’autre bout, ça, quand même.
R : Ouais. Bah c’est sur ma ligne de métro mais c’est à l’opposé de… à l’opposé de chez moi.
A : Mm, mm. D’accord. Bon enfin, il te reste plein de trucs à faire, à voir…
R : Ah bah oui, c’est une grande ville, donc il y a… y a de quoi faire ! (19)
A:  Ouais, puis c’est vraiment bien quoi. Il y a tellement de belles choses et…
R : Puis à toutes les heures de la journée.
A : Oui. Et puis tous les quartiers, il y a quelque chose, hein. Ça, c’est vraiment spécial. Tu as bien de la chance d’habiter là-bas !
R : Oui !
Quelques explications :
1. un studio : un appartement avec une seule pièce, en général avec un coin cuisine. ( Et une salle de bains bien sûr. )
2. Le 13ème arrondissement : Paris est divisé en 20 arrondissements. Le 13ème, est au sud-est.
3. plein de : c’est la même chose que « beaucoup » mais on l’utilise plus souvent à l’oral.
4. Il y a beaucoup de monde : c’est comme « il y a beaucoup de gens » mais c’est plus naturel d’utiliser le mot « monde».
5. un truc comme ça = quelque chose comme ça. ( Romain donne un chiffre approximatif. )
6. Il y a : en fait, on dit « Y a » . Mais on ne l’écrit pas !
7. les principaux coins = lieux, endroits. Mais ce n’est pas naturel d’employer ces 2 mots ici.
8. voire = même
9. Paris-Plage : l’été, la Mairie de Paris installe une « plage » sur les bords de la Seine. Les voies sur berges ( c’est-à-dire les routes qui passent sur les quais sous les ponts de Paris ne peuvent plus être utilisées par les voitures. )
10. trois tas de sable : Romain veut dire qu’il n’y a pas grand-chose, que ça ne ressemble pas vraiment à une plage !
11. râler : protester, exprimer son mécontentement. Quand on n’est jamais content, on est un râleur ( ou une râleuse ).
12. le RER = Réseau Express Régional. Ce sont des lignes qui relient Paris à la grande banlieue.
13. Le Vélib : on peut prendre des vélos ( en payant avec sa carte bleue ), se déplacer et les déposer ailleurs. ( = Vélo + Liberté )
14. ça doit se faire = ça doit être possible / ça doit être faisable.
15. le périphérique : l’anneau autour de Paris. Il y a beaucoup de circulation, à toutes les heures. Il faut savoir y entrer, changer de files, être très vigilant, etc… Bref, ce n’est pas le calme ! ( comme sur ce genre de voies dans les grandes villes du monde ! )
16. carrément : ici, ça veut dire qu’Anne est surprise par la comparaison entre la piscine et le périphérique. Pour Romain, c’est carrément = complètement la même chose !
17. entre guillemets : on dit ça quand on utilise un terme qui ne convient pas tout à fait, quand c’est une image. A l’écrit, on met le mot entre guillemets, et à l’oral on ldit « entre guillemets ». Ici, évidemment, les nageurs n’ont pas de klaxon ! Mais Romain continue sa comparaison avec la circulation automobile.
18. Les Halles : quartier de Paris. Avant, il y avait ds vraies halles ( un grand marché de gros pour la nourriture ). Puis elles ont été tranférées en dehors de Paris. Ce quartier a été complètement transformé. Et on y a construit le Forum des Halles ( un centre commercial ) et cette piscine.
19. Il y a de quoi faire = il y a beaucoup de choses à faire et à voir.

jueves, 3 de octubre de 2013

lunes, 29 de julio de 2013

L'USAGE: LA BISE



Je me suis toujours demandé pourquoi en France on dit "c’est simple comme bonjour" pour exprimer que quelque chose est facile. Simple comme bonjour ? Mais il n’y a rien de plus compliqué que de se dire bonjour en France ! Surtout pour un étranger. Car les Français ne se disent pas juste "Salut", ou ne se contentent pas de se serrer la main comme les Allemands, ils se font la bise !

Et faire la bise, c’est tout un art. Celui qui ne l’a pas appris dès le plus jeune âge comme les petits Français "Allez, fais une bise à tata Géraldine !" a souvent l’air maladroit. Un peu raide, l’étranger se penche en avant, lèvres pointues et bras ballants, n’osant pas toucher l’autre, ne sachant pas par quel côté commencer, incertain s’il faut poser les lèvres ou faire comme si on embrassait l’air … Ne riez pas, les pauvres élèves allemands en échange scolaire connaissent tous ce terrible moment de gêne quand ils se trouvent face à leur famille d’accueil et que tout le monde n’a qu’une idée en tête : leur faire la bise !

Pour faire la bise on doit se poser quatre questions : Quand ? Qui ? Comment ? Combien ? Quand ? Quand on se retrouve pour les loisirs, parfois le matin au travail et toujours quand on arrive chez des amis. Il est évident que le temps d’embrassade est proportionnel au nombre d’amis. Si vous débarquez dans une soirée où se trouvent déjà 15 personnes, vous avez le temps de mourir de faim avant de passer au buffet. Les Allemands qui ont l’habitude de faire juste Hallo avec la main trouvent ça toujours un peu fastidieux.

Qui : Il faut prendre en compte le lien familial, amical ou professionnel, l’âge et le statut de la personne. Par exemple, on ne fait pas la bise à son supérieur hiérarchique. Ou plutôt, on attend que ce soit lui qui vous la propose. Mais on s’embrasse abondamment entre collègues. Les hommes, ça dépend : ils s’embrassent parfois quand ils sont amis ou membres de la même famille, mais pas toujours. Entre jeunes, on s’embrasse beaucoup, et les garçons semblent s’y mettre de plus en plus.

Comment : La bise crée une promiscuité immédiate, c’est un reniflement animalier et aussi une bonne base pour draguer. L’intensité, la durée et la conviction qu’on met dedans sont donc variables, et il faut se confier à son feeling. Si on ne connaît pas bien la personne, il est conseillé d’agir avec retenue.

Combien ? Ah, nous voilà arrivés au problème du nombre ! Les Parisiens en font 2, les Montpelliérains 3, à la Turballe on en fait 4, dans le Gard c’est 3 et ainsi de suite. Quand on ne sait pas d’où vient une personne, on peut facilement vivre un moment de flottement déstabilisant. Car il est très désagréable de tenter une troisième bise quand la personne visée se détourne déjà. Ou de s’arrêter après deux bises quand l’autre meurt d’envie de vous en faire quatre. Mais j’ai remarqué que même les Français ne savent pas avec précision combien de bises on fait selon les régions. On me dit qu’à Strasbourg c’est 2, puis 3, puis 2… Un originaire de Nemours affirme qu’ils en font 4, d’autres me certifient que c’est 2. Pourquoi ces incertitudes ?

C’est qu’il y a un problème de classes sociales. En France, il faut savoir, il y va toujours de la distinction des classes sociales : pour faire court, on pourrait dire que les bourgeois qui sont souvent radins, on le sait, se contentent de deux bises tandis que les prolos ne comptent pas et s’arrêtent rarement avant 4.

Bref, tout ça rend la vie compliquée aux étrangers qui ne savent jamais trop comment se comporter. Moi, je trouve que les Français devraient éditer une petite "Carte de France de la bise", qui indiquerait, région par région et classe sociale par classe sociale, le nombre de bises qu’on est censé faire lors de ses déplacements en France ! À mon avis, ce serait aussi utile aux touristes qu’aux autochtones !


COMBIEN DE BISES ?
Clic ici

LES SENTIMENTS

jueves, 18 de julio de 2013

LE MURMURE DES PALMES


Un autre conte pour lire cet été
Mori aide ses parents dans leur travail pour qu'ils puissent tous vivre en harmonie avec la nature