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jueves, 7 de noviembre de 2013

Dire son origine

à, au, en, aux + nom de ville ou de pays
Cliquez sur l'image et pratiquez avec les exercices de TV5 MONDE 


On met la préposition au devant un nom de pays masculin commençant par une consonne

Le + pays masculin                        Au+ pays masculin

Le Senegal                                     je vais au Sénégal
Le Portugal                                    nous habitons au Portugal

On met la préposition en devant de nom de pays féminin et devant un pays masculin commençant par voyelle.

La + pays féminin                         En + pays féminin

La Chine                                       Tu travailles en Chine
La France                                      Nous sommes en France

On met la préposition aux devant un nom de pays pluriel.

Le + pays pluriel                          Aux + pays pluriel

Les  Pays-Bas                               Il va aux Pays-Bas
Les États-Unis                               J'habite aux États-Unis

On met la préposition à devant un nom de ville

Nom de ville                                À + nom de ville

Dakar                                          Il part à Dakar
Bruxelles                                     Nous habitons à Bruxelles

  

lunes, 28 de octubre de 2013

Le Moulin Rouge

Lisez et répondez aux questions
Haz clic en la imagen

Paris

Pour votre prochain voyage a Paris
 REGARDEZ LA VIDÉO QUI RACONTE L'EXPÉRIENCE DE ROMAIN.


TRANSCRIPTION
R : Romain / A : Anne
A Alors Romain, il y a deux ans, tu t’étais installé à Valenciennes, tu as passé un an et après, l’année dernière, tu étais à Aix… Et là maintenant ?
R A Paris ! Donc ça fait un mois que… que je m’y suis installé.
A Ouais, c’est pour ton travail en fait.
R Voilà, pour mon travail. Et donc j’ai un petit studio (1) dans le treizième arrondissement (2) de Paris.
A C’est bien ? C’est calme ?
R Oui, oui, c’est calme. C’est dans le quartier… quartier chinois de… de Paris. Donc il y a plein de (3) boutiques asiatiques et de restaurants… restaurants asiatiques.
A : D’accord.
R : Donc c’est assez animé.
A : Oui. Et euh… Qu’est-ce que je veux dire… Qu’est-ce que tu as… Qu’est-ce que tu as eu le temps de faire, alors là, depuis un mois à Paris ? Parce que bon, tu travailles, mais tu as quand même le temps un peu de… visiter ou…
R : Oui, bah, j’ai fait… bah les principaux coins touristiques : la Tour Eiffel.
A : Tu es monté ?
R : Euh non, j’y suis pas monté cette fois-ci parce qu’il y avait beaucoup… Enfin il y a beaucoup de touristes, donc il y a beaucoup de monde. (4)
A : Oui, il y a la queue.
R : Oui, il y avait une heure d’attente ou…
A : Oui, oui.
R : Un truc comme ça. (5)
A : Oui, c’est sûr que le mois d’août, il y a (6) plein de … y a du monde, quoi, hein ! Plein d’étrangers.
R : Bah surtout… même le soir parce que y a… Elle est toute illuminée en plus.
A : Ah oui, c’est beau, ouais.
R : C’est joli.
A : Bah tu iras après quand tout le monde sera…
R:  Oui en hiver.
A : … au travail ! Oui, oui. Et puis ?
R : Sinon, bah les… les principaux coins (7) du centre comme Notre Dame de Paris.
A : Oui, c’est agréable.
R : Puis les… les Quais de Seine.
A : Mm. En marchant ? Tu es allé à pied ?
R : Oui, en marchant. Oui, le soir, c’est… c’est agréable. En plus, il faisait beau et chaud, donc…
A : Oui, oui. Bah c’est vrai que depuis un mois, vous avez eu de la chance finalement.
R : Oui, il a quasiment pas plu depuis un mois. Il a toujours fait très… très beau,même… voire (8) chaud.
A : Oui. Donc du coup, c’est agréable de flâner…
R : Oui.
A : … au bord de la Seine. C’est très romantique !
R : Sur les quais de Paris-Plage. (9)
A : Ah oui, tu es allé voir, alors ?
R : J’y étais passé la nuit donc j’ai pas vu grand-chose mais… Oui, il y a trois tas de sable ! (10)
A : C’est un peu bizarre, quand même ! Oui. Parce que bon, on peut pas se tremper dans la…dans la Seine de toute façon. Donc c’est juste… oui, c’est ça, des chaises longues et…
R : C’est juste pour bronzer. Puis les Parisiens râlent (11) vu que ça empêche… Enfin on peut plus circuler en voiture sur les quais, donc…
A : Ah oui, oui, pendant… pendant l’été.
R : Un mois.
A : Oui, oui. Bah là, ça va bientôt s’arrêter en fait.
R : Bah ça… ça fait une semaine, je crois, que c’est fini.
A : Ah ! Ils ont tout remballé. Et sinon, alors tu te déplaces comment dans Paris ?
R:  Bah dans Paris, toujours en métro, en tramway ou en RER. (12)
A : Mm, mm. C’est vrai que c’est pratique, oui. Il y a des stations partout, oui.
R : J’ai pas encore fait de Vélib. (13)
A : Ah ! Tu as pas essayé ?
R : Non.
A : C’est pas un peu… angoissant, non, à Paris quand même ?
R : Le Vélib ?
A : Oui.
R : Je sais pas trop. Mais j’ai pas… Là, c’était l’été donc il y avait pas… Y avait pas encore beaucoup de circulation mais…
A : Oui, oui.
R : Non, bah si les gens le font, ça doit se faire. (14)
A : Oui. Tu veux essayer ?
R : Bah, je pense que j’essaierai peut-être mais bon, pour l’instant, ça marche bien en métro donc…
A : Mm, mm. D’accord. Et sinon, il y a des trucs qui te plaisent pas, toi, à Paris ou… ?
R : Bah c’est un petit peu le monde dans les transports aux heures de pointe. C’est vrai que c’est un petit peu pénible des fois. Il y a du monde partout. Ou même quand je vais à la piscine, il y a beaucoup de…
A : Ah oui, tu t’es… Tu vas à la piscine, alors?
R : A la piscine, oui.
A : Et tu t’es inscrit dans une salle de sport ?
N : Non, pas pour l’instant.
A : T’as pas trouvé ?
R : Non. Pas vraiment. Bah c’est vrai que c’est cher. Donc c’est…
A : Il faut que tu voies par rapport à ton organisation.
R : Oui, voilà, donc…
A : … de la semaine.
R: On verra plus tard.
A : Donc là, la piscine.
R : La piscine, ouais. Mais il y a beaucoup de monde. C’est comme le périphérique ! (15)
A:  C’est-à-dire ?!
R : Bah, il faut s’insérer dans la circulation et puis…
A : C’est vrai ?! Carrément ? (16)
R : … nager. Tu peux te faire… Si tu nages trop lentement, tu te fais… tu te fais… « klaxonner », entre guillemets ! (17)
A : Ouais. D’accord, mais alors, c’est quoi… Ouais mais ils ont dû quand même… je sais pas, il y a des lignes d’eau ?
R : Oui, il y a plusieurs lignes d’eau en fonction des vitesses et puis après, bah, ç’est… ça nage à l’intérieur. Mais bon, il y a du monde, donc…
A : Oui, oui.
R : Faut trouver les bons créneaux pour s’insérer…
A : D’accord !
R : …dans le mouvement.
A:  C’est fou, ça !
R : Ouais.
A : Remarque, bon, il y avait peut-être du monde parce que c’était l’été. Peut-être que quand il va faire plus froid, les gens vont rester à la maison.
R : Je sais pas. On verra bien.
A : Oui, oui. D’accord. C’est laquelle ? C’est quelle piscine ?
R : C’est la piscine de… des Halles (18). Donc en plein centre de Paris.
A : Ouais, ouais, c’est une grande piscine.
R : Oui. Bah c’est une piscine olympique et elle a l’avantage d’être ouverte jusqu’à 22 heures ( vingt-deux ) ou 23 heures le soir. Donc c’est assez pratique parce que celles qui sont plus proches de chez moi ferment assez tôt. Donc je peux pas… je peux pas trop y aller après le travail.
A : Ouais, c’est trop court.
R : Voilà.
A : Et tu es allé au cinéma ou… ?
R : Oui, je suis allé au cinéma. Donc c’est bien parce que dans… pas loin de chez moi, il y en un qui fait des promotions donc la place à 3,90 € ( trois euros quatre-vingt dix ) pour les moins de 26 ans ( vingt-six ).
A : Ah ouais ! Dis donc ! Alors que normalement, c’est combien ?
R : Bah en tarif normal, à Paris, c’est entre 9 ( neuf ) et 10 ( dix ) euros.
A : Ah ouais ! La différence ! A n’importe quelle heure ?
R : N’importe quelle heure, à toutes les séances, tous les films.
A : Ah ouais, c’est bien, ça ! Et les musées ?
R : Les musées, non, j’en ai pas encore vus. J’ai juste fait la Cité des Sciences.
A : Ah oui, c’est bien ça !
R : Donc voilà, oui, c’était… J’avais… Je l’avais déjà fait quand j’étais plus jeune.
A : Oui, mais bon.
R : C’est vrai que les expositions changent. Puis je m’en souvenais plus forcément beaucoup.
A : Oui, oui. C’est à l’autre bout, ça, quand même.
R : Ouais. Bah c’est sur ma ligne de métro mais c’est à l’opposé de… à l’opposé de chez moi.
A : Mm, mm. D’accord. Bon enfin, il te reste plein de trucs à faire, à voir…
R : Ah bah oui, c’est une grande ville, donc il y a… y a de quoi faire ! (19)
A:  Ouais, puis c’est vraiment bien quoi. Il y a tellement de belles choses et…
R : Puis à toutes les heures de la journée.
A : Oui. Et puis tous les quartiers, il y a quelque chose, hein. Ça, c’est vraiment spécial. Tu as bien de la chance d’habiter là-bas !
R : Oui !
Quelques explications :
1. un studio : un appartement avec une seule pièce, en général avec un coin cuisine. ( Et une salle de bains bien sûr. )
2. Le 13ème arrondissement : Paris est divisé en 20 arrondissements. Le 13ème, est au sud-est.
3. plein de : c’est la même chose que « beaucoup » mais on l’utilise plus souvent à l’oral.
4. Il y a beaucoup de monde : c’est comme « il y a beaucoup de gens » mais c’est plus naturel d’utiliser le mot « monde».
5. un truc comme ça = quelque chose comme ça. ( Romain donne un chiffre approximatif. )
6. Il y a : en fait, on dit « Y a » . Mais on ne l’écrit pas !
7. les principaux coins = lieux, endroits. Mais ce n’est pas naturel d’employer ces 2 mots ici.
8. voire = même
9. Paris-Plage : l’été, la Mairie de Paris installe une « plage » sur les bords de la Seine. Les voies sur berges ( c’est-à-dire les routes qui passent sur les quais sous les ponts de Paris ne peuvent plus être utilisées par les voitures. )
10. trois tas de sable : Romain veut dire qu’il n’y a pas grand-chose, que ça ne ressemble pas vraiment à une plage !
11. râler : protester, exprimer son mécontentement. Quand on n’est jamais content, on est un râleur ( ou une râleuse ).
12. le RER = Réseau Express Régional. Ce sont des lignes qui relient Paris à la grande banlieue.
13. Le Vélib : on peut prendre des vélos ( en payant avec sa carte bleue ), se déplacer et les déposer ailleurs. ( = Vélo + Liberté )
14. ça doit se faire = ça doit être possible / ça doit être faisable.
15. le périphérique : l’anneau autour de Paris. Il y a beaucoup de circulation, à toutes les heures. Il faut savoir y entrer, changer de files, être très vigilant, etc… Bref, ce n’est pas le calme ! ( comme sur ce genre de voies dans les grandes villes du monde ! )
16. carrément : ici, ça veut dire qu’Anne est surprise par la comparaison entre la piscine et le périphérique. Pour Romain, c’est carrément = complètement la même chose !
17. entre guillemets : on dit ça quand on utilise un terme qui ne convient pas tout à fait, quand c’est une image. A l’écrit, on met le mot entre guillemets, et à l’oral on ldit « entre guillemets ». Ici, évidemment, les nageurs n’ont pas de klaxon ! Mais Romain continue sa comparaison avec la circulation automobile.
18. Les Halles : quartier de Paris. Avant, il y avait ds vraies halles ( un grand marché de gros pour la nourriture ). Puis elles ont été tranférées en dehors de Paris. Ce quartier a été complètement transformé. Et on y a construit le Forum des Halles ( un centre commercial ) et cette piscine.
19. Il y a de quoi faire = il y a beaucoup de choses à faire et à voir.

jueves, 3 de octubre de 2013

lunes, 29 de julio de 2013

L'USAGE: LA BISE



Je me suis toujours demandé pourquoi en France on dit "c’est simple comme bonjour" pour exprimer que quelque chose est facile. Simple comme bonjour ? Mais il n’y a rien de plus compliqué que de se dire bonjour en France ! Surtout pour un étranger. Car les Français ne se disent pas juste "Salut", ou ne se contentent pas de se serrer la main comme les Allemands, ils se font la bise !

Et faire la bise, c’est tout un art. Celui qui ne l’a pas appris dès le plus jeune âge comme les petits Français "Allez, fais une bise à tata Géraldine !" a souvent l’air maladroit. Un peu raide, l’étranger se penche en avant, lèvres pointues et bras ballants, n’osant pas toucher l’autre, ne sachant pas par quel côté commencer, incertain s’il faut poser les lèvres ou faire comme si on embrassait l’air … Ne riez pas, les pauvres élèves allemands en échange scolaire connaissent tous ce terrible moment de gêne quand ils se trouvent face à leur famille d’accueil et que tout le monde n’a qu’une idée en tête : leur faire la bise !

Pour faire la bise on doit se poser quatre questions : Quand ? Qui ? Comment ? Combien ? Quand ? Quand on se retrouve pour les loisirs, parfois le matin au travail et toujours quand on arrive chez des amis. Il est évident que le temps d’embrassade est proportionnel au nombre d’amis. Si vous débarquez dans une soirée où se trouvent déjà 15 personnes, vous avez le temps de mourir de faim avant de passer au buffet. Les Allemands qui ont l’habitude de faire juste Hallo avec la main trouvent ça toujours un peu fastidieux.

Qui : Il faut prendre en compte le lien familial, amical ou professionnel, l’âge et le statut de la personne. Par exemple, on ne fait pas la bise à son supérieur hiérarchique. Ou plutôt, on attend que ce soit lui qui vous la propose. Mais on s’embrasse abondamment entre collègues. Les hommes, ça dépend : ils s’embrassent parfois quand ils sont amis ou membres de la même famille, mais pas toujours. Entre jeunes, on s’embrasse beaucoup, et les garçons semblent s’y mettre de plus en plus.

Comment : La bise crée une promiscuité immédiate, c’est un reniflement animalier et aussi une bonne base pour draguer. L’intensité, la durée et la conviction qu’on met dedans sont donc variables, et il faut se confier à son feeling. Si on ne connaît pas bien la personne, il est conseillé d’agir avec retenue.

Combien ? Ah, nous voilà arrivés au problème du nombre ! Les Parisiens en font 2, les Montpelliérains 3, à la Turballe on en fait 4, dans le Gard c’est 3 et ainsi de suite. Quand on ne sait pas d’où vient une personne, on peut facilement vivre un moment de flottement déstabilisant. Car il est très désagréable de tenter une troisième bise quand la personne visée se détourne déjà. Ou de s’arrêter après deux bises quand l’autre meurt d’envie de vous en faire quatre. Mais j’ai remarqué que même les Français ne savent pas avec précision combien de bises on fait selon les régions. On me dit qu’à Strasbourg c’est 2, puis 3, puis 2… Un originaire de Nemours affirme qu’ils en font 4, d’autres me certifient que c’est 2. Pourquoi ces incertitudes ?

C’est qu’il y a un problème de classes sociales. En France, il faut savoir, il y va toujours de la distinction des classes sociales : pour faire court, on pourrait dire que les bourgeois qui sont souvent radins, on le sait, se contentent de deux bises tandis que les prolos ne comptent pas et s’arrêtent rarement avant 4.

Bref, tout ça rend la vie compliquée aux étrangers qui ne savent jamais trop comment se comporter. Moi, je trouve que les Français devraient éditer une petite "Carte de France de la bise", qui indiquerait, région par région et classe sociale par classe sociale, le nombre de bises qu’on est censé faire lors de ses déplacements en France ! À mon avis, ce serait aussi utile aux touristes qu’aux autochtones !


COMBIEN DE BISES ?
Clic ici

LES SENTIMENTS

jueves, 18 de julio de 2013

LE MURMURE DES PALMES


Un autre conte pour lire cet été
Mori aide ses parents dans leur travail pour qu'ils puissent tous vivre en harmonie avec la nature


Comment demander son chemin en français



DES PHRASES POUR SE BOUGER DANS UNE VILLE
  • 1¿Dónde puedo coger un taxi?
    Où est-ce que je peux prendre un taxi? (U es que ye pé prandr an taxi)
  • 2Necesito llegar a la calle…
    Je dois aller à…. (Ye dua alé a)
  • 3Necesito llegar al aeropuerto.
    Je dois aller à l’aéroport. (Ye dua alé a l’aeropor)
  • 4Necesito llegar al hospital.
    Je dois aller à l’hôpital. (Ye dua alé a lopital)
  • 5¿Dónde puedo encontrar un teléfono?
    Où est-ce que je peux trouver un téléphone? (U es que ye pe truvé an telefón)
  • 6¿Dónde puedo encontrar un restaurante?
    Où puis-je trouver un restaurant? (U puisye truvé an restaurant)
  • 7Necesito llegar a la oficina de información turística.
    Je dois aller à l’office du tourisme. (Ye duá alé a lofis du turism)
  • 8Un billete de metro por favor.
    Un billet de métro s’il vous plait? (An biyé de metro sil vu plé)
  • 9Disculpe, ¿podría hacerme una foto?
    Excusez-moi, pourriez vous me faire une photo? (Excuse mua, pugé vu me fer un foto)
  • 10¿Me podría decir cómo llegar al museo…?
    Pouvez-vous me dire comment aller au musée? (Puvé vu me dir comon alá o musé)
  • miércoles, 17 de julio de 2013

    viernes, 12 de julio de 2013

    Le petit pianiste

    Un conte pour lire et écouter.
    On pratique la lecture
    Azul adore jouer du piano et il ne veut pas simplement devenir un bon mais un grand pianiste. Regarde comment il découvre le secret. 

    miércoles, 26 de junio de 2013

    LE TROIS "E" DU FRANÇAIS

    TU PEUX REGARDER LA VIDÈO

    La e abierta y la e cerrada

    Ø  Vocales e, é, è, ê
    El francés tiene tres tipos de e: la e cerrada /e/, la e abierta /ɛ/ y la e muda. Las tres se hallan en la voz élève.

    1. La e es cerrada /e/ en los siguientes casos:
    ·         Cuando lleva acento agudo é:
    sévérité
    /seveʀite/

    ·         En las terminaciones er, ez:
    écolier
    /ekɔlie/
    apportez
    /apɔʀte/


    ·         En la conjunción et y en los monosílabos les, mes, tes, ses, etc…
    2. La e es abierta /ɛ/ en los siguientes casos:
    père
    /pɛʀ/
    fête
    /fɛt/


    ·         Cuando lleva acento grave è o acento circunflejo ê:
    ·         Cuando va seguida de consonante doble o de x:
    terr
    /tɛʀ/
    messe
    /mɛs/
    express
    /ɛkspʀɛs/
     ·         Delante de consonante final pronunciada:
    bec
    /bɛc/
    sel
    /sɛl/
    fer
    /fɛr/


    ·         Delante de t o ct finales mudas:
    discret
    /diskʀɛ/
    respect
    /ʀɛspɛ/

    ·         En la 2a y 3a persona del verbo être:
    tu es
    /ɛ/
    il est
    /ɛ/

    3. La e es muda en los siguientes casos:
    ·         Al final de los polisílabos:
    Marie
    /mari/
    dame
    /dam/
     ·         En las terminaciones verbales es, ent:
    tu pries
    /pʀi/
    ils parlent
    /paʀl/
    ·         Cuando a un polisílabo terminado en e muda, se le añade una s para formar el plural:
    la table
    /tabl/
    les tables
    /tabl/
     ·         En medio de la palabra, cuando va al final de la sílaba, la e suele hacerse perceptible aunque sea muda: 
    regard
    /ʀ(ə)gaʀ/
    obtenir
    /ɔpt(ə)niʀ/
     ·         En los siguientes monosílabos la e final se pronuncia con su sonido particular francés:
    le
    /l(ə)/
    me
    /m(ə)/
    de
    /d(ə)/
    ne
    /n(ə)/
    te
    /t(ə)/
    se
    /s(ə)/
    ...

    lunes, 3 de junio de 2013

    DES MARQUES EN QUÊTE DE RESPONSABILITÉ

    Regardez la vidèo et en suite faire les exercices



    EXERCICES:
           

    domingo, 26 de mayo de 2013

    Georges Moustaki, disparition d'un voyageur de la chanson


    Le chanteur Georges Moustaki est mort




    C'est dans sa retraite niçoise, où il soignait ses soucis respiratoires, que Georges Moustaki est décédé dans la nuit du 22 au 23 mai 2013. L'auteur et interprète du Métèque avait eu 79 ans le 3 mai dernier. 
    Il était né à Alexandrie, avait grandi dans un milieu cosmopolite, et était arrivé en France en 1951. Une dizaine d'années plus tard, il était devenu l'un des auteurs les plus respectés de la chanson, écrivant pour les autres et pour lui-même. Il avait mené une carrière discrète mais internationale, se produisant un peu partout dans le monde pendant près de trente ans – et important notamment les musiques brésiliennes dans la chanson française. 

    On le savait gravement malade depuis plusieurs années. En 2009, lors d'un concert à Barcelone, il avait lui-même annoncé au public qu'il renonçait définitivement à la scène. Moustaki continuait de dessiner, de peindre et d'écrire. Il avait publié l'hiver 2012 lePetit abécédaire d'un amoureux de la chanson (L'Archipel), dans lequel il évoquait sa passion, et les artistes qu'il avait côtoyés : Georges Brassens, qu'il avait découvert aux Trois Baudets en 1952, et qui lui avait donné l'envie de chanter. Edith Piaf, dont il avait été l'amant en 1958, et pour laquelle il avait écrit le texte de Milord. Barbara, dont il fut l'un des proches et avec laquelle il avait chanté La Dame brune. Ou encore Serge Reggiani, pour qui il avait écrit SarahMadame Nostalgie, Ma Liberté, ou encore Ma Solitude. Autant de chansons devenues des classiques.
    Une chanson. Une silhouette. Une voix. Une histoire. Georges Moustaki s’en est allé sur la pointe des pieds, laissant derrière lui une trace singulière, autant pour ce qu’il incarna que pour ce qu’il chanta. (LIRE PLUS....) 
    Georges moustaki: humblement, il est parti. TV5 monde par ici

    ON TRAVAILLE AVEC SES  CHANSONS
    Le métèque (vocabulaire pour débutants)
    Il y avait un jardin (L'imparfait de l'indicatif)
    Il est trop tard (Imparfait et passé composé)
    Le promeneur (L'imparfait de l'indicatif)

    L' IMPARFAIT OU LE PASSÉ COMPOSÉ ?

    Cette vidéo explique quand utiliser l'imparfait et le passé composé.

    L'IMPARFAIT

    NOUS CONTINUONS À TRAVAILLER AVEC L' IMPERFAIT
    REGARDE LA VIDÉO

    lunes, 6 de mayo de 2013

    domingo, 7 de abril de 2013

    LE PASSÉ COMPOSÉ

    Écoutez la chançon pour pratiquer le passé composé


    Les paroles
    Dis, où tu as été cet été ?
    Moi j'ai été à Tahiti
    Si tu as été à Tahiti
    C'est-y que tu y as été à pied ?

    J'ai pris ma moto
    Je l'ai mise sur mon dos
    Et je suis parti pour Tahiti
    J'ai pris mon vélo
    J'ai dit : va faire chaud
    Et je suis parti pour Tahiti

    Si tu as été à Tahiti
    Tu n'as pas pu y aller en moto, hein ?
    Si tu as été à Tahiti
    Tu n'as pas pu y aller en vélo, non, non, non

    J'ai pris mon dada, vas-y mon petit gars
    Et je suis parti pour Tahiti
    J'ai pris mon boa, je l'ai mis sous mon bras
    Et je suis parti pour Tahiti

    Si tu as été à Tahiti
    Tu n'as pas pu y aller en dada, ha ha
    Si tu as été à Tahiti
    Tu n'as pas pu y aller en boa, ça marche pas !

    J'ai pris mon cerceau, j'ai mis mon chapeau
    Et je suis parti pour Tahiti
    J'ai pris mon bateau, je l'ai mis sur l'eau
    Et je suis parti pour Tahiti

    Si tu as été à Tahiti
    Tu n'as pas pu y aller en cerceau
    Si tu as été à Tahiti
    Tu n'as pu y aller qu'en bateau...bis...

    Encore plus des exercices par ici:
    - Biographie de Rafa Nadal - Retrouver les infinitifs.




    sábado, 16 de marzo de 2013

    20 Mars jour de la Francophonie

    Hommage à la Francophonie


    Transcription:
    Regarde, on est pas pareil
    Et pourtant le soleil
    Brille pour toi et moi

    Regarde, on a le même sourire
    Quand on se tient la main
    Sur le même chemin

    Envie de vivre
    Envie d’être libre
    Se sentir léger
    Se sentir accepté

    Envie de vivre
    Toutes nos différences
    De corps et de sens
    Véritables résonances
    Ensemble

    Regarde, tout au fond de nos yeux
    Seulement le besoin d’être
    Non celui de paraître

    Regarde sous les doigts endoloris
    La force et l’énergie
    D’avoir encore envie

    Envie de vivre
    Envie d’être libre
    Se sentir léger
    Se sentir accepté

    Envie de vivre
    Toutes nos différences
    De corps et de sens
    Véritables résonances
    Ensemble

    Regarde toutes nos envies
    Le chemin de nos vies
    C’est le seul combat
    Important ici bas